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Le Commerce de la Fourrure Chinoise

« Le meilleur ami de l’homme » tué pour sa fourrure ?


Non, ce n’est pas qu’un mauvais rêve !

Pour ceux qui douteraient qu’il existe de la maltraitance chez les animaux et pour ceux qui aiment porter de la fourrure, n’hésitez pas à regarder cette petite vidéo : nous espérons juste qu’après celle-ci, la prise de conscience fera le reste…

Le commerce de la fourrure chinoise

NON a la fourrure

Avant qu’ils ne soient pelés vivants, on tire des animaux de leurs cages et on les jette à terre ; les ouvriers les matraquent de tiges métalliques ou les claque sur des surfaces dures, causant des fractures d’os et des convulsions, mais pas la mort toujours immédiate…. la vidéo vous racontera le reste…

PRENEZ 5 MINUTES pour la visionner !

Quand les enquêteurs en civil ont fait leur chemin dans les fermes à fourrure chinoises, ils ont constaté que de nombreux animaux sont encore vivants et qui luttent désespérément lorsque les travailleurs eux flip sur leur dos ou de les suspendre par les pattes ou la queue pour les dépecer. Lorsque les travailleurs de ces fermes commencent à couper la peau et la fourrure provenant de la jambe d’un animal, les membres libres coup de pied et se tordent. Stomp travailleurs sur les cous et des têtes d’animaux qui luttent trop dur pour permettre une coupe nette.

Lorsque la fourrure est enfin pèle-dessus des têtes des animaux, leurs corps nus et sanglants sont jetés sur un tas de ceux qui les ont précédés. Certains sont encore en vie, la respiration haletante en lambeaux et clignote lentement. Certains des cœurs des animaux battent encore cinq à 10 minutes après elles sont dépouillées. Un enquêteur a enregistré un chien viverrin écorchés sur le tas de cadavres qui avaient assez de force pour soulever sa tête ensanglantée et regarder dans l’appareil.

Avant qu’ils ne sont écorchés vifs, les animaux sont arrachés de leurs cages et jetés à terre, les ouvriers les matraquent avec des tiges de métal ou de slam sur les surfaces dures, provoquant des fractures et des convulsions, mais la mort n’est pas toujours immédiate. Animaux impuissants, les travailleurs font leur chemin le long des rangs.

Undercover enquêteurs de Swiss Animal Protection / EAST International ont visité des fermes à fourrure dans la province du Hebei, en Chine, et il est vite devenu clair pourquoi les étrangers sont interdits de visite. Il n’existe aucune réglementation régissant les fermes à fourrure en Chine, les agriculteurs peuvent maison et tuer des animaux comme ils l’entendent. Les enquêteurs ont trouvé au-delà de leurs pires horreurs imaginations et conclut:

« Les conditions sur les fermes à fourrure chinoises tourner en dérision les normes de protection les plus élémentaires des animaux. Dans leur vie et leur mort indicible, ces animaux ont été refusée, même la plus simple des actes de bonté ».

Dans ces fermes, des renards, visons, lapins et autres animaux rythme et frissonner dans des cages en plein air, exposés à la pluie battante, les nuits de gel, et, à d’autres moments, brûlant dim. Mère des animaux, qui sont animés fous de manipulations brutales et intenses et l’accouchement n’ont pas d’endroit pour se cacher pendant l’accouchement, souvent tuent leurs bébés après la remise de litières.

La mondialisation du commerce des fourrures a rendu impossible de savoir d’où proviennent des produits en fourrure. La Chine fournit plus de la moitié des vêtements de fourrure finis importés pour la vente aux États-Unis. Même si l’étiquette d’un vêtement de fourrure résume à elle été faite dans un pays européen, les animaux ont été élevés et abattus probablement ailleurs, peut-être sur une ferme non réglementée de fourrures chinoises.

La seule façon de prévenir la cruauté inimaginable est de ne jamais porter de fourrure :

Prendre l’engagement de PETA sans fourrure.

Antifourrure